Des ennemis de la révolution et des dissidents accusent Cuba d’esclavagisme
Suite à la parution dans le Figaro en date du 16 mai 2019, d’un article intitulé : «Les méde- cins cubains au coeur d’une affaire d’esclavagisme», sous la plume de llona Métais et repris en boucle par la presse capita- liste française, Mme Yoandra Edita Rodriguez Fernandez, gar- dienne de la Révolution cubaine, anciennement fonctionnaire à l’Institut cubain d’amitié avec les peuples (ICAP), répond aux détracteurs de son pays.
D ès 1959, notre Cuba révolu- tionnaire a été victime des attaques en tout genre, de la désinformation sur sa vraie réa- lité, par les moyens de propagande du système capitaliste. La médecine et l’éducation cubaine ont aussi été attaquées par les transnationales. Ces mêmes entre- prises ne se préoccupent pas des problèmes plus importants du monde mais font tout pour décré- dibiliser une si petite île. Cuba met tout en oeuvre pour défendre son projet social incitatif et solidaire. Cependant, ses détracteurs pas- sent leur temps à écrire des insani- tés sur Cuba pour quelques sous. Cette fois-ci, ils ont pris pour cible les médecins cubains, parce qu’ils ont une renommée internationale et sont des références mondiales, grâce à leur professionnalisme. Il ne faut surtout pas confondre l’action de solidarité et l’esclavage. La collaboration internationale cubaine, dès 1959, a manifesté son soutien à des pays de l’Amérique latine, de la Caraïbe, de l’Afrique malgré notre situation économique difficile causée par le blocus. Notre programme de solidarité ne comprend pas uniquement les médecins, mais s’ouvre à d’autres domaines. Voici une illustration de notre projet révolutionnaire. C’est la création d’une école latino-américaine des sciences médicales, pour accueillir tous ceux qui veulent se former chez nous, bien évidemment sur la base de la solidarité, de la collaboration et de l’intégration entre nos peuples. Visitez nos sites nationaux. Renseignez-vous ! Et vous vous rendrez à l’évidence. Yoandra Edita Rodriguez Fernandez