Cohn-Bendit insulte Chavez et Castro Déclaration de Cuba si France

C e mercredi 18 janvier, le néo-fasciste mais néanmoins Premier ministre hongrois Viktor Orban, est venu plaider sa cause devant le Parlement européen à Strasbourg. Fustigeant sa politique liberticide, Cohn-Bendit, capable des pires amalgames, vociféra à la manière d'un Le Pen, devant les caméras de télévision qu'Orban devenait l'émule de Chavez et de Castro, pas moins !

On sait que Cohn-Bendit ne s'embarrasse pas de subtilités quand il s'agit de se faire remarquer mais oser une telle bassesse, c'est se marquer d'une flétrissure indélébile.

Au mépris de l'histoire, tout lui est bon pour vomir sur des hommes respectés par leurs populations justement parce qu'ils ont su avec courage, débarrasser leurs pays des politiques les plus répressives, réactionnaires et liberticides d'Amérique latine et caribéenne en donnant à leurs peuples la dignité, les droits humains fondamentaux comme le droit pour tous à l'éducation, aux soins, au travail et par la promulgation de lois égalitaires antiracistes, tout le contraire de ce qu'un Viktor Orban a entrepris enHongrie.

Cuba si France, attachée à la défense de la révolution cubaine et à la poursuite de sa voie socialiste, proteste éner - giquement contre les propos odieux et insultants du tout petit Cohn-Bendit, aboyés contre ces grands Hommes qui bénéficient chacun d'un soutien populaire écrasant et du respect de tous les peuples latinos américains.

Oui, Monsieur Cohn-Bendit ! Orban est une créature de votre Europe anti-démocra - tique à la dérive, soumise au diktat de la finance qui asser - vit les peuples. Elle ne peut qu'engendrer de dangereux apprentis sorciers comme Viktor Orban.

Par vos vociférations anti- Chavez et anti-Castro, votre but est d'empêcher les peuples européens d'entendre les bel- les espérances que des hommes comme, Castro à Cuba, puis Chavez au V enezuela, Ortega au Nicaragua, Morales en Bolivie, Correa en Equateur, Mujica en Uruguay, Lugo auParaguay , ou des femmes comme Cristina Kirchner en Argentine ont fait naître durablement en Amérique latine. Quant à vous, l'Histoire vousenterrera.

Théodore Botrel dans sa chan- son de la Fleur de Lys, dit : “A la ville, tu peux faire un bon apprenti, Mais pour Labourer la terre T'es ben trop petit, T'es ben trop petit ! Dame, oui !

Michel Taupin - Source : LGS