Ambroise Croizat : le cauchemar d’Emmanuel Macron !

La Président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron, porte-flingue du monde de la finance, des héritiers des forges, des collaborateurs nazis et des profiteurs des fonds publics n’a qu’une obsession : démanteler le modèle social fran- çais mis en place par le Conseil national de la résistance au lendemain de la seconde guerre mondiale.

Sa cible prioritaire est la mesure emblématique de ce programme qui se trouve au coeur de la solidarité nationale : le système de retraite par répartition.

Son ennemi historique qui hante ses cauchemars, c’est le résistant FTP, le syndicaliste de la CGT, le ministre communiste du général de Gaulle, Ambroise Croizat, le véritable créateur de la Sécurité sociale en France.

Aujourd’hui, confronté à la résistance populaire qu’il a, avec ses com- parses, obstinément attisée («qui sème le vent, récolte la tempête»), il tente désespérément une manoeuvre de dégagement en cherchant à cri- minaliser la CGT et à salir la mémoire d’Amboise Croizat.

En braquant maladroitement les projecteurs sur Ambroise Croizat, il a poussé les Français à vraiment mesurer la réalité de la lutte de classe que son gouvernement de millionnaires livre contre les travailleurs.

Les Français redécouvrent que la France a eu un jour un ministre du Travail qui savait ce que travailler veut dire.

Il s’appelait Ambroise Croizat. Dès l’âge de 13 ans, il a travaillé en usine comme ouvrier métallurgiste. Nous lui devons : - La Sécurité sociale - La retraite par répartition - Les comités d’entreprise - Les conventions collectives - La réglementation sur les heures supplémentaires - La médecine du travail

Les Français voient très nettement la différence de classe avec la ministre du Travail d’Emmanuel Macron, Muriel Penicaud, qui affiche le patrimoine le plus conséquent parmi les riches du Gouvernement avec 7,5 millions d’euros.

Ils comprennent maintenant pourquoi, la Sécurité sociale, la retraite, ne font pas partie de leur ADN et pourquoi pour ces gens «hors sol», les principes énoncés par Amboise Croizat pour porter la création de la Sécurité sociale : «Vivre sans l’angoisse du lendemain, de la maladie ou de l’accident du travail, en cotisant selon ses moyens et en recevant selon ses besoins»,est un blasphème.

Nous considérons que rendre justice et hommage au père fondateur de la Sécurité sociale et de la retraite par répartition, c’est poursuivre la lutte jusqu’au retrait des lois de réforme iniques d’Emmanuel Macron.