Oui à la jeunesse, mais…

La crise de l’Ukraine, précédée des années de Covid, aura révélé au monde la tactique mise au point par la grande finance mondiale pour s’allier la jeunesse des pays dont ils doivent, à tout prix, prendre le contrôle pour réussir leur plan.

Rappelons-nous :
- François Fillon, de la droite classique, catholique, en famille, écarté de manière aussi hallucinante, au profit d’Emmanuel Macron, 36 ans en 2017.
- Justin Trudeau et sa main de fer, au Canada, vis-à-vis de son peuple, en particulier des transporteurs qui refusaient sa gestion de la vaccination.
- Juan Guaido, auto-proclamé président du Venezuela, reconnu par la «Communauté internationale», alors que Nicolás Maduro a été élu par son peuple.
- Jovenel Moïse, 52 ans, propulsé au pouvoir par la «pègre» politique puis éliminé quand il a voulu aider son peuple à sortir de la misère.
- Alexeï Anatolievitch Navalny, en Russie, que Vladimir Poutine n’a pas su «empoisonner», chouchouté en Allemagne et en France, est présenté comme l’opposant n°1 de son pays où il est pratiquement inconnu.
- Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky, le président (ancien comédien), en Ukraine, est soutenu par l’Occident qui lui envoie des tonnes d’armes et des milliards de dollars pour continuer sa guerre contre la Russie, alors que son pays qui abrite des néo-nazis est reconnu comme un des plus corrompus au monde.
La stratégie peut être différente dans d’autres pays.
En Afrique et dans les ex petits pays de l’Est, la tactique est un peu différente. Les USA, la France, la Grande-Bretagne forment chez eux, dans leurs grandes écoles, une «élite» qu’ils parachutent dans les pays à conquérir. Influenceurs, fils et filles à papa, chanteurs, footballeurs, peuvent ainsi se retrouver, du jour au lendemain, à la tête d’Etats dont les richesses sont aux mains des puissances occidentales.
Même les pays scandinaves, autrefois connus comme médiateurs dans les conflits mondiaux, nous étonnent. Ainsi, la Première ministre de la Finlande, 36 ans, qui vient de demander l’adhésion de son pays à l’Otan, est obligée de faire des tests anti-drogue, car férue des fêtes nocturnes.
La liste serait longue si nous devions continuer à nommer tous ces jeunes de 30 ans, branchés, qui ont tous le même profil et qui portent fièrement aux yeux du monde les valeurs du monde occidental, dites valeurs des droits de l’Homme.
Le paradoxe, avez-vous remarqué, c’est que Joe Biden et Nancy Pelosi, qui dirigent les USA et l’Otan n’ont plus vingt ans depuis longtemps (79 et 82 ans).
Heureusement que la résistance s’est organisée. Exemple : la jeune influenceuse de 30 ans, Tckhano-vakaïa qui devait prendre le pouvoir en Biélorussie a dû fuir.
A Cuba, des opposants fascinés par des vidéos de la jeunesse dorée d’Europe et d’USA mais aussi fatigués par 60 ans de privations dues au blocus ont cru qu’ils pouvaient mettre à mal l’héritage de Fidel Castro. Mais hélas pour eux ! Le peuple cubain veille encore avec Miguel Diaz-Canel Bermudez.
Au Mali, Assimi Goïta, 39 ans, a mis sa vie en jeu au service de l’Afrique qu’il veut sortir du néo-colonialisme.
En Ethiopie, le Premier ministre Abiy Ahmed, formé pourtant aux USA s’est rappelé à temps que son pays n’avait jamais été colonisé et a donc pris, en tant que Premier ministre, la tête de son armée pour s’opposer à la partition de son pays.
Quand on voit aujourd’hui Volody-myr Zelensky et son chantage autour des centrales nucléaires de l’Ukraine et quand on entend Emmanuel Macron demander aux Français de se préparer à des sacrifices pour la «liberté», trois conclusions nous viennent en tête :
1) La chute du mur de Berlin n’annonçait pas la fin de l’histoire mais peut-être la fin de notre monde terrestre pourtant si beau.
2) La Russie, la Chine, l’Inde, l’Iran, n’accepteront jamais de voir détruire leurs civilisations millénaires au profit de ce monde robotisé, asexué, que les mondialistes nous préparent.
3) Et puis, notre jeunesse, à nous, en Guadeloupe, elle est encore «saine». Dieu merci, malgré tous les défauts qu’on lui prête car, elle a été forgée dans les luttes menées par les anciens et par les valeurs transmises dans notre société matriarcale par les femmes poto mitan… Ah ! Si nous avons dit un gros mot, pardonnez-nous !