Veille informative

200 000 : Pour réactiver le Groupement de Défense Sanitaire de Guade- loupe, il faudrait une mise à disposition de 200 000 euros afin qu'il puisse se procurer un stock-outil de produits sanitaires pour les éleveurs.
4 : C'est la période, en mois, durant laquelle la police municipale de Saint-Claude restera installée rue des Officiers, près de l'Institut Universitaire de Technologie. Pendant ce temps, leurs locaux de la rue Barolet, seront en travaux afin de mieux accueillir la population.
350 000 : C'est en euros, la somme à laquelle s'élève à l'heure actuelle, l'ensemble des dossiers d'em - prunt - dans le cadre du micro- crédit. Ce qui représente environ 200 à 250 demandeurs. Deux communes de la Guadeloupe sur trois ont signé la convention de mise en œuvre du micro-crédit social personnel.
225 000 : C'est en euros la valeur vénale du terrain de 5000 m2\(soit 45 euros/ m2\ lequel la municipalité avait le projet de construire un établisse - ment éducatif et d'insertion à destination des jeunes en difficulté

. Le projet, rappelons-le, a été rejeté par une majorité de conseillers municipaux, contre l'avis du Maire, José T oribio et de la Direction Interrégionale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse.
INTERCOMMUNALITE : Les huit communes de la Communauté d'Agglomération du Sud Basse-T erre \(Baillif, Basse- Terre, Saint-Claude, Gourbeyre, Capesterre Belle-Eau, Trois- Rivières, Vieux-Habitants, Vieux- Fort), ont planché sur les enjeux de l'extension du périmètre intercommunal, c'est la raison du séminaire qui a eu lieu à l'Hôtel Saint Georges à Saint- Claude réunissant ces 8 communes déjà adhérentes. En outre, 3 communes \Terre de Bas, Terre de Haut, et Bouillante\ sont susceptibles de rejoindre la CASBT, même si leurs conseils municipaux n'ont pas donné formellement leur accord. Face à la complexité de la mise en œuvre des règles de fonctionnement en intercommunalité, Lucette Michaux-Chevry a fait appel à Philippe Ricochin, Consultant et a Eric Landot, avo- cat de la CASBT. Le séminaire s'est achevé par une discussion très animée sur les conséquences financières pour les communes et la CASBT elle-même.
EMPLOIS D'AVENIR François Hollande a fait de l'insertion des jeunes dans le monde du travail une «ambi- tion nationale», signant symboliquement à Chelles, en banlieue parisienne, les douze premiers emplois d'avenir. En France, 150 000 jeunes sortent du système scolaire sans diplôme, alors que presque la moitié de ceux qui ont le niveau BEPC sont aujourd'hui en demande d'emploi. C'est près d'un quart des moins de 25 ans qui sont au chômage.
5,8 : C'est la somme en millions d'eu - ros dépensée par la Commu- nauté d'Agglomération du Sud Basse-Terre CASBT communes de \Basse-Terre, Baillif, Saint-Claude, Gourbeyre) pour l'enlèvement des encom - brants «et je ne compte même pas les voitures» a dit, Lucette Michaux Chevry dans son discours d'ouverture du séminaire de la CASBT. Si bien que la collectivité vient de relancer un marché pour répondre aux exigences de la population.
300

000 : C'est en euros le montant de l'investissement fait par le Conseil Général cette année pour le contrat urbain de cohésion sociale.
7% : C'est le taux qui correspond à la diminution, en 2012, des dotations dont doit disposer le Centre Hospitalier de La Basse- Terre. Conséquences : disparition de la Mission d'intérêt général MIG, disparition de la MIG drépanocytose et du financement des lignes de garde en pharmacie. Le CHBT continue toutefois à assu- rer cette permanence des soins sans contre- partie financière.
2000 : L'association Visuel Aw qui orga- nise la manifestation Lekti Lari à Sainte-Rose recevra une subvention du Conseil Général de 2000 euros. Rappelons que la Manifestation a pour but de combattre l'illettrisme en permettant à tous les Sainte-Rosiens d'accéder au livre.
5 : C'est le nombre de poteaux dotés de projecteurs qui pour- raient être installés sur la promenade du front de mer à Lauricisque à Pointe-à-Pitre correspondant à la première tran - che de chantier d'éclairage nocturne de ce littoral, depuis la base de canoë-kayak jusqu'à la première plate-forme marine.
RAVINE CHAUDE : Le coût des travaux se trouve multiplié par 6 en 4 ans. Le Centre Thermal de Ravine Chaude, d'un coût de 3,3 millions d'euros en 2008, est passé à 18 millions d'euros. La 2e étape de ce dossier a été l'attribution des lots : démolition, voirie et réseaux divers, construction de parking, le grosœuvre, menuiserie… La 3eétape sera la construction du 2e étage et de salles de confé- rences, avec derrière Ravine Chaude sur 8000 m2un parc ludique. Après calcul, le coût des travaux s'élèvera à 18 millions d'euros. Les travaux devraient durer 3 ans et seront livrés par tranche. Le Maire du Lamentin espère bien que pour décembre 2013, deux bassins seront terminés et accueilleront le public.
GEORGES CAPRESSE, Ancien gardien de but de la sélection de la Guadeloupe, par- tage sa passion du football Agé aujourd'hui de 60 ans, c'est à la Solidarité Scolaire que Georges Capresse débute la pra - tique du football en 1970 avec un premier match joué en tant que gardien de but, à l'âge de 18 ans. C'était contre l'Idéal Club de V ieux-Habitant se souvient-il encore, qui comptait en son sein un joueur de 2 mètres, et que l'on surnommait «De Gaulle». Il s'en va ensuite deux années au Red-Star, où il vivra cette fameuse épopée en Coupe de France. Puis il s'en va du côté du Moule, au Club Sportif Moulien, où il glanera plusieurs titres et connaîtra de superbes aventures (titre de Champion de la Guadeloupe, participation à la Concacaf, participation à la Sélection de la Guadeloupe.) Ensuite, il prendra sa licence à l'AS Gosier, et y restera deux années avant de partir à la JS Abymes, sollicité par Henri Augustine. Il a ensuite été à l'Intrépide de Sainte-Anne durant deux saisons où sa formation disputera 31 matches sans défaite. Le Zénith de Morne à l'Eau, la Juvénis de Sainte-Rose et bien d'autres clubs encore aura eu la chance de posséder dans leurs rangs ce monument de gardien de but.