Ils ont fumé ensemble… un baton !

Le moins que l'on puisse penser, c'est que ces deux-là ont fumé ensemble. Pas un simple joint, mais un vrai bâton de ……. ! Car, pour écrire et dire autant de conneries, il faut être vraiment pétés.

Mais il y a tout de même un problème. Que la tête de Claudia et Titi soit embuée par la fumée, on pourrait comprendre. Mais que les rédacteurs en chef du quotidien «Frances- Antilles» valident un tel article, il y a là, quelque chose qui défie tout entendement, on ne parle même pas de déontologie ne sachant si cela a encore un sens pour tous ceux qui s'affublent du titre de journaliste enGuadeloupe.

Quelle est la valeur informative d'un article qui porte en 2014 sur la situation en ex URSS, un empire effondré depuis 1990, il y a 24 ans ?

Quel intérêt il y avait à donner la parole à Edmond Gagneur dit Titi, pas le plus représentatif des anciens boursiers du Parti Communiste Guadeloupéen à Moscou, dans les années 70/80 ?

En réalité, ce que raconte Titi sur son séjour en URSS et même sur ces prétendues activités militantes en Guadeloupe intéresse très peu Claudia Belon et ceux qui l'emploie.

Ils auraient tout de même relevé les contre-vérités historiques contenues dans cet article, énoncées par quelqu'un qui dit avoir fait des études d'histoire à l'Université Patrice Lumumba à Moscou. Ils n'auraient pas manqué de noter les contradictions flagrantes dans le récit de la vie de l'étudiant à Moscou.

Mais, de tout ce charabia, Claudia en service commandé ou engagée pour son propre compte ne voulait transcrire qu'une seule et unique pensée de son complice : «Le communisme est fini».

Elle s'est ridiculisée parce qu'elle a choisi le mauvais Cheval. Quelqu'un de sympathique certes, mais qui n'a jamais été communiste, qui n'a jamais été militant communiste.

Quelqu'un qui n'a pas de reconnaissance, parce qu'il a été logé, nourri, blanchi, reçu une formation supérieure pendant 7 ans, payés par la sueur des travailleurs soviétiques et aujourd'hui, il crache sans vergogne dans la soupe.

Si cette journaliste était sérieuse, elle aurait recoupé cet interview par celui de dizaines autres Guadeloupéens qui ont étudié dans les ex pays socialistes et qui aujourd'hui, occupent les plus hautes fonctions dans l'Education Nationale, la Santé, l'Administration et les institutions d'Etat en Guadeloupe.

Parmi ceux-là, il y en a qui sont membres du Parti Communiste Guadeloupéen qui était en fait la cible de Titi et de «France-Antilles».

Ce sont ces anti-communistes primaires, ces allumés qui, malgré eux, nous insufflent la vie.