Covid-19 : Vérités et mensonges
D epuis l’apparition de cette pandémie, ceux qui gouver- nent le pays ont choisi, relayés par les médias et des soi- disant médecins, plus affairistes que médecins, de prati- quer la politique du mensonge au mépris de toutes vérités scien- tifiques et de toutes observations de bon sens.
Au début de la circulation de ce virus, la plus haute autorité de santé en France, le Professeur Salomon, s’est fendu d’une décla- ration sans appel pour expliquer que le port du masque n’était pas recommandé, cela ne servait à rien. C’était un mensonge poli- tique. La vérité, c’est que la France n’avait pas de masques pour mettre à la disposition des soignants et de la population.
Quelques six mois après, volte-face de ce gouvernement : un citoyen ne peut plus se balader le nez au vent dans les rues de sa cité sans risquer la répression. Le port du masque est devenu obli- gatoire. Cette mesure est-elle justifiée ? Nombreux sont les spé- cialistes de cette maladie qui la condamne, en attirant l’attention sur les dangers d’infection que comporte le port du masque. Où se trouve la vérité, où se cache le mensonge ?
Après deux mois de confinement, le gouvernement s’ap- puyant sur les avis d’un Conseil scientifique «maison», esti- mant que le pic de la pandémie était derrière nous, a pris la décision de déconfiner pour répondre à l’appel des entre- prises. Aujourd’hui, instrumentalisant le nombre de tests positifs, qu’il s’était refusé de généraliser au plus fort de la pandémie, il n’ose pas parler de reconfiner mais il impose des règles drastiques dans le fonctionnement de la société et impose un nouveau mode de vie aux citoyens.
Le danger est-il aussi grand que le prétend le pouvoir ? A ce stade, sous réserve du respect des précautions utiles, il est temps d’en terminer avec une sur médiatisation délibérément anxiogène, qui menace de provoquer des conséquences plus graves que celles de la propagation du virus. Les faits aujourd’hui admis doivent être clairement posés et diffusés :
- Le risque zéro n’existe pas - La grande majorité des dépistés positifs ne présentent aucun signe de maladie - La grande majorité des dépistés malades sont guéris rapide- ment
Le corps médical doit répondre à cette question : Comment se fait-il que la flambée de décès attribuée au Covid ait fait chuter le nombre de décès lié aux autres maladies ? Y’a-t-il eu manipula- tion ? Dans ces circonstances, toute nouvelle contrainte ou inter- diction entravant la vie sociale et culturelle, ainsi que les libertés individuelles et qui ne seraient pas exactement «proportion- nées», seraient contraire à la légalité et aurait des conséquences plus néfastes que celles que l’on veut prévenir.
Notre appel «Guadeloupéens, sauvons-nous nous-mêmes !»est plus que jamais d’actualité.